Une virée à Boston, septembre 2012

J'ai un peu de baseball dans le sang. Voulant imiter les Tim Wallach, Tim Raines, André Dawson et Gary Carter, j'y ai été initié très jeune. Le Fenway Park aka « le monstre vert », stade mythique vieux de plus de 100 ans, a donc marqué mon imaginaire de joueur de troisième but, à l'époque où les trop longues et trop « zen » parties de baseball me retenaient devant la télé.

C'est donc aux petites heures du matin que j'ai quitté Montréal, en compagnie de Sébastien et deux de ses amis(Reg et Beaver), pour aller voir une partie des Red Sox.

Pour le petit gars qui sommeille heureusement encore en moi, mettre les pieds dans l'enceinte du Fenway Park, fut fort éblouissant. Juste pour observer cet espace et saisir l'efficacité esthétique de la brique rouge, ça vaut la peine. Ça n'a absolument rien à voir avec la banalité architecturale d'un vulgaire aréna de hockey.

Lorsque la fille de Sébastien, un peu adolescente de style yeux en l'air, a appris qu'il partait à Boston avec moi, elle lui a répliqué un : « wouin ça va être beau! ». En effet, c'était très beau Boston.


















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